THIERRY BISCH Artist Painting
Naissance: 1953, FRANCE.
Lieu de vie: BLAYE, FRANCE.
L'art ne sert pas qu'à décorer, il doit pousser à la réflexion
Naissance: 1953, FRANCE.
Lieu de vie: BLAYE, FRANCE.
L'art ne sert pas qu'à décorer, il doit pousser à la réflexion
Jusqu'en 2010 j'ai peint des animaux. Après cette date, j'ai commencé à peindre leur disparition. Mon oeuvre s'appelle désormais "Delete?". “Delete ?” (Supprimer) est le mode ordinaire pour supprimer un texte, une image, un fichier sur son ordinateur. Mais qu’en sera-t-il lorsque “Delete?” est associé aux espèces vivantes? L'effondrement de la biodiversité est pour moi une question centrale et je m'efforce, sans relâche, de sensibiliser le public à sixième extinction de masse
Montrer, encore et toujours, la pression anthropique sur les habitats de la faune sauvage
Première grande exposition de mon projet "Delete?" soutenu par la Fondation qui fête ses dix années d'existence. 20 grandes toiles d'animaux en train de s'effacer, de disparaître. Le Prince Albert II viendra inaugurer l'exposition et m'offrira des timbres à l'effigie de mes animaux édités pour l'occasion par l'Office des Postes Monégasque.
Mon marchand de l'époque me fait entrer à l'hôtel Lutetia comme artiste résident. Je serai le 6ème après César, Arman, Chémiakine, Takis et Hiquily et j'y séjournerai régulièrement jusqu'en 2014
Ma première galerie professionnelle à Paris. La galerie de la figuration narrative, le mouvement artistique français répondant au Pop Art américain...
Première confrontation de mes oeuvres avec le public et rencontre de celle qui allait devenir la mère de mes deux garçons.
"Delete?" est une oeuvre internationale visant à sensibiliser les populations sur la menace imminente de la disparition d’un grand nombre d’espèces. La première exposition de cette série engagée fut inaugurée par le Prince Albert II à Opera Gallery Monaco le 28 juin 2016.
Exposition et vente caritative au profit de la RISEP (Recherche Internationale pour la Sclérose en Plaques) l'association de mon ami Patrick Timsit. Hotel Lutetia 12 avril 2010, au marteau Pierre Cornette de St Cyr.
Les premiers animaux et la fin de la représentation humaine. Galerie Géraldine Banier Paris
Les premiers adultes que je peignais. Ils étaient vêtus jusqu'à la ceinture et nus en bas. 10 hommes et 10 femmes choisis parmi mes ami(e)s. Les vêtements étaient clairement des panoplies, vareuses militaires ou vestes Chanel étaient agrémentées de petits rectangles de toile adhésive symbolisant les petites languettes qui servaient de rabats sur les accessoires des poupées de cartons à découper dans les magazines pour fillette des années 60. Une réflexion sur les apparences, le diktat de la mode et la fragilité universelle sous nos carapaces sociales. Galerie Loft Paris.
La dernière phase consacrée à la quête du mystère de l'enfance fut un travail introspectif sur les rituels de passage dans les sociétés modernes et les religions du livre. Mon enfance alsacienne, à cheval entre la bible et la torah, m'a servi de base de réflexion pour une série iconoclaste tout à fait étonnante. L'exposition "Les communiants" fut inaugurée par le maire de Toulouse le 7 mai 1997 au Centre d'Art St Cyprien.
Depuis 1989, je ne peignais que des enfants. Plus exactement je peignais "l'Enfance". J'étais obsédé par ce moment de bascule, ce point de non-retour ce moment crucial où l'on quitte l'insouciance pour les rails du compte à rebours, le train du monde des adultes. Une petite galerie de Toulouse, aujourd'hui disparue, m'offrit de montrer ces toiles étranges et intenses...
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